Tombe des parents.

Meyack avait quitté le village cacher d'Oto pour rendre un petite visite à ses parents, ceux-ci étaient morts lors de la guerre civile du village cacher de la brume, Kiri no sato. Lorsque Meyack arriva, il temps était anormal, il était sombre et il avait besoin de venir ici se receuillir pour expliquer se qui se passait dans sa vie. La tombe était la numéro cinq au bout de la septième allée. Meyack avança, il n'y avait personne, comme d'habitude, les gens oubliaient leurs morts.

"Pfff, quel bande d'ingrat, il n'y a personne, je suis dessus pour toutes ces personnes, sa y est je suis enfin arriver sur la tombe de mes parents."

-Sa faisait longtemps, maman, papa. Je sais que vous m'entendez, je suis vennu vous racontez ce qui c'est passer durant les dernières années de ma vie. Tout d'abord, je suis devenu Otokage, ensuite je dirige un village avec très peu d'éléments et ensuite, ce qui sera peut-être ma dernière tâche, je raserais le village cacher de la brume pour se qu'il vous on fait, je ne le pardonnerais pas. Je sais que vous n'auriez pas approuver mais je suis venu pour vous prévenir de mon dessein.

Meyack s'asseya à côté de la tombe de ses parents, malgré les années Meyack se sentait toujours mal, il regarda la tombe et quelques larmes tombèrent de ses yeux.

"Je m'avais promis de ne plus pleurer mais j'ai encore raté."

Meyack continua de parler pendant plusieurs heures à la tombe de ses parents puis lorsqu'il commença à leur dire aurevoir, le tonnere gronda, comme à une réponse à ses diverses questions. Puis une voix se fit entendre.

-TOI, tu es triste de la mort de tes parents, n'est-ce-pas ?
-Qui es tu, qui ta permit d'écouter ma conversation, montre toi, sale lâche.
-Moi lâche, je suis le dieu de la mort, alors ne me parle pas sur ce ton.
-Le dieu de la mort, mais bien sûr et moi je suis le roi des enfers.
-Tu ne me crois pas, dans ce cas je vais t'apparaître.

Une forme blanchatre apparu dans le dos de Meyack. Meyack le regarda, il était blanc avec un kimono fait de violet et de blanc ainsi qu'un bracelet fait de perle rouge, et à sa ceinture était attacher un sabre trancheur d'arme.

-Alors c'est donc vrai, vous êtes le dieu de la mort, pourquoi venez vous ici.
-Si je suis venu te voir, c'est parce que j'ai ressenti un immense pouvoir et pour pouvoir t'apprendre l'art de maîtriser le pouvoir des ténèbres, mais si tu n'en veut pas je ne te l'apprendrais pas.
-Le pouvoir des ténèbres... interessant, apprend le moi.
-Je te donne ce pouvoir pour que tu obtiennes la maitrise des ténèbres, tu peux l'injecter dans ta lame ou même créer des jutsus à base de ténèbre. Je retourne dans le royaume des morts.
-Bien, je maitriserai ce pouvoir.

Le dieu des morts disparu dans son royaume laissant Meyack avec une étrange sensation interne. Il se senti mal, commença à tituber et tomba inconscient sur la tombe, entourer par la noirceur des ténèbres.

"Ou suis-je, que m'est il arriver ? Il fait tout noir, à oui je me souvient, le dieu des morts, la puissance ténèbreuse et cette drôle de sensation.
-Tu es dans le royaume des ténèbres, mon fils.
-Mère c'est toi ?
-Oui, tu as accepter la puissance du dieu de la mort, cependant cette puissance te condamne à un tourment infernal, une fois que tu seras mort, tu appartiendras au dieu de la mort, tu connaissais notre point de vue, le pouvoir des ténèbres à été interdit par les ancêtres des Koori, à la base nous maîtrisions la force des ténèbres, on était redouté mais nous avons comprit que le dieux des ténèbres se jouait de nous et nous avons abandonner le pouvoir des ténèbres pour celui de la glace. Maintenant, tu es le dernier Koori à notre connaissances et tu seras le dernier puisque tu appartiendras au dieu de la mort. Je t'en supplie évite de mourrir.
-Je ferais tout mon possible, mère, pardonne moi, j'étais près à tout pour vous vengez.
-Je le sais, Meyack mais la vengeance conduit sur des chemins dangereux. miantenant tu vas rester en sommeil pendant quelques temps."

Meyack regardait encore sa mère qui se mit à disparaitre devant ses yeux. Tout devient noir et il n'y avait plus rien, le néant et là plus rien.Dehors le vents soufflait en rafale et Meyack gisait sur la pierre tombale de ses parents, inconscient.